ETOILE à NEUTRONS et CELLULE HUMAINE
Il y aurait un lien entre une étoile à neutrons et nos cellules :
Nous sommes tous des poussières d’étoiles. Et peut-être même un peu plus que nous ne le pensions. Car des chercheurs ont découvert, au cœur d’étoiles à neutrons, des structures qui rappellent d’autres structures observées dans les cellules qui composent notre corps ! De la cellule à l'étoile à neutrons, la même relation forme-énergie
Légende de l’image Des structures en forme de piles de feuilles uniformément espacées et reliées par des hélices ont été observées dans des cellules vivantes (a) et dans des étoiles à neutrons (b) ! © University of California at Santa Barbar
« Le fait d'observer des structures aussi semblables au cœur de systèmes aussi fondamentalement différents suggère que l'énergie d'un système peut dépendre de sa forme d'une manière aussi simple qu'universelle », prétend Charles Horowitz, physicien nucléaire à l'université de l'Indiana.
« Mais nous n'avons pas encore résolu tous les mystères qui s'y rattachent. Cette découverte marque le début d'une aventure qui promet d'être passionnante », assure Greg Huber, physicien à l'université de Californie.
Mon grain de sel :
Le commentaire ci-dessus m'inspire la remarque suivante : "l'énergie du système qui dépend de sa forme" ne pourrait s'appeler une "Onde de forme" ?
Auquel cas, j'oserais le rapprochement avec l'onde de forme d'un aspect planétaire : la figure géométrique formée par les degrés séparant deux planètes dans un thème.
Dans la nature, le phénomène bien connu des marées met en scène l'action des aspects entre le Soleil et la Lune, soit en conjonction, soit en opposition ; les deux forces d'attraction s'ajoutant ou se neutralisant. L'aspect est donc un rapport fondé sur un écart d'angle particulier entre deux astres, chacun d'eux exprimant une tendance les faisant se comporter comme deux associés ou deux rivaux. Ils peuvent être harmoniques : sextiles = 60°, des trigones = 120° ou dissonnants : carré = 90°, opposition 180° ....
Deux astres, voire davantage, impliqués dans ces aspects particuliers, dessinent les figures géométriques correspondantes au sein du zodiaque : de 2 à 4 côtés d'un carré, 2 à 3 côtés d'un triangle, etc...
Ces aspects se forment et se séparent continuellement de façon cyclique. En assimilant le dialogue continu de deux astres à l'instrument d'un morceau de musique, on constate des silences dans la partition en marge de ces aspects.
Kepler lui-même tenta de fonder la théorie des aspects en se basant sur la théorie Pythagoricienne. Celle-ci costruit des polygones réguliers dans le cercle et fonde les aspects sur des rapports numériques, la conjonction ayant valeur 1, l'opposition 2, le trigone 3 et le carré 4. Expliquant l'Univers par la mesure et les nombres, impressionnés par certains rapports entre les sons musicaux et les relations géométriques, les Pythagoriciens tinrent les divisions du cercle par 2 et 4 comme disharmoniques et celle par 3 et 6 comme harmonique !
Kepler admit que la hauteur des sons se rapportant à la longueur de la corde, s'applique au cercle zodiacal considéré comme une corde vibrante repliée sur elle-même. Le cercle correspond à l'octave et les tons répartis sur les 360° (octave à la conjonction, quinte à l'opposition, quarte au trigone, tierce majeure au carré).
Or, un seul aspect planétaire génère une énergie spécifique, une vibration telle une note de musique. Et bien entendu, l'énergie de cet aspect impacte directement l'individu à qui il est destiné. L'être humain l'intègre physiquement ou psychiquement en tant qu'onde de forme qui lui offre son énergie et l'amène à y réagir.
Comme, l'exprime si bien, l'astrologue Bernard Duchatelle (l'Astrologie et la mécanique de la pensée) : "La vie n'est pas un fleuve tranquille. Plaisirs et douleurs, craintes et espoirs se déploient à partir des relations que nous entretenons avec notre environnement physique et social et avant tout envers nous-mêmes. Les aspects, ces angles remarquables que les astres forment entre eux, ces regards qu'ils se jettent, figurent les relations dynamiques et vivantes qui s'établissent entre les différents fragments de nos "moi" et exposent en conséquence le degré d'agitation de nos esprits.
Le terrain et les décors sont les signes, les champs d'actions : les maisons, les astres : les personnages et les aspects : les dialogues et les ressorts des intrigues qui s'y nouent. Si les profils des personnages sont colorés par les signes où ils évoluent et si les maisons révèlent nombre de leurs occupations, ils restent fondamentalement similaires chez chacun d'entre nous. Les mêmes principes les animent et leurs relations mutuelles décident de la qualité du spectacle que nous donnons, c'est à dire du scénario de notre saga personnelle et de sa mise en scène.
Les aspects décrivent ainsi au plus près les spécificités de la pensée, en modifient les contenus et les structures et en constituent les interactions. Ils nous permettent d'appréhender avec précision les mécanismes d'un mental qui loin d'être fixe est mouvant, vivant, sans cesse en train de s'observer, de se comparer, de se modifier, de se congratuler ou de se critiquer parfois férocement. Neutres, conflictuelles ou harmonieuses, changeantes ou figées, ces relations intérieures font de nous ce que nous sommes et c'est à partir d'elles et des défis qu'elles nous posent que nous agissons sur nos vies, que nous tentons de maîtriser nos thèmes".
En conclusion, le physicien quantique s'interroge sur l'énergie du système qui dépend de sa forme ? L'astronome, le mathématicien-philosophe du passé faisaient de l'énergie et de la forme des systèmes scientifiques et l'astrologue a intègré l'énergie de la forme au système du fonctionnement humain.
Tout étant relié, Unis-vers l'Uni, tous finiront bien par jouer la même partition de la musique des sphères.
Astarté
L'ASTROLOGIE FACE à LA SCIENCE
Date de dernière mise à jour : 09/12/2022
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